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Soblacktie

city

  • Série "terminée" ! Episode 05, Citybulles magazine

    Retour en ce lundi de la série des magazines disparus, désolé pour ce décalage d'une semaine, mais le week-end dernier, j'étais ivre bourré au champagne, claaaaaaaaaaaassssssse, pas claaaaaaaaaassssssssse, je n'étais donc pas en état de rédiger ce post. Ahahahahahah.

    Lettre C : City bulles magazine n°1, trimestriel daté de février, mars, avril 2003, vendu 5,50 euros. Durée de vie, 1 numéro. Magazine français. 

    Le magazine urbain chic du champagne, c'est à première vue ce que voulait transmettre ce magazine à ces lecteurs. Urbain dans l'âme et amateur de champagne, je devais me laisser séduire, séduction qui opéra au moins pour une numéro. 

    City bulles le magazine 100 % champagne, parlons du flacon avant de savourer les bulles. Les quelques effets graphiques de la couverture m'ont attirés l'oeil, mais en détail, hormis la photo, c'est un petit peu n'importe quoi, le logo double typo, des bulles qui se baladent sans aucune justification, typographie d'accompagnement mal choisie. Cela demandait un coup de ménage, cela méritait un peu plus de chic, même si le champagne rime avec fête.

    Laissons une chance au contenu du flacon. De ce côté là, pas de révolution de palais. Un choix rédactionnel réfléchi et classique, les bonnes adresses, les champagnes, le shopping, la cuisine, l'art de vivre champagne. Le sujet est vaste quand on sait qu'il y a plus de 900 champagnes en France, nous pouvions tenir facilement une bonne centaine de numéros. Ajoutez à cela, des séries de photos mode (comme un alibi des magazines modernes et tendances). L'ivresse était plus convaincante que le flacon.

    Bilan, j'ai comme un goût un peur amer dans la bouche, la cible de ce magazine n'était pas généraliste (évident), mais pour satisfaire son lectorat, il était à mon avis beaucoup trop loin des codes, même si on souhaitait se rapprocher d'une clientèle jeune, urbaine, aisée et chic. Encore une fois, il est difficile de critiquer ou de porter un jugement quand on ne connaît pas les impératifs et les objectifs économiques d'un tel magazine, surtout sur un seul numéro. Le champagne, s'est du rêve et de l'élégance, une part de luxe dans un verre et là je suis obligé de dire que le rêve s'est vite dissipé, comme l'éclat d'une petit bulle de bonheur. @ +++

     

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    Ours City Bulles :
    Directeur de la publication / François Delaroière
    Rédacteur en chef / François Delaroière
    Direction artistique / Benjamin Emrik
    Maquette / Benjamin Emrik
     
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