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La fille du week-end - Michelle Buswell par Xavi Gordo
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Kiraz, les parisiennes
Attention, les parisiennes reviennent ! Elles sont délurées, impertinentes, espiègles, attachantes et toujours incroyablement dans l’air du temps ! Les parisiennes sont ces personnages croqués par le dessinateur Kiraz. Que ce soit pour Jours de France où il imagine les Parisiennes, Paris Match, Gala, Grazia, Vogue et même Playboy, on a tous en mémoire le dessin d'une jeune femme belle et intemporelle. Oui je suis certain que nous sommes nombreux à connaître son travail.
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La fille du week-end - Anita Hodosi par Dan Crosby
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J'ai touché le fond de la piscine...
dans mon petit pull marine... Les éclairs déchirent le ciel, la pluie, on dirait les chutes Victoria, il fait plus de 20°c, le Var va t il devenir un département au climat tropical ? Mon moral accordé au temps est plutôt en berne en ce moment, comment faire avec presque 3 semaines d'orages, l'herbe est verte comme jamais, mais le bonheur n'est pas dans le pré... (j'adore les trois petits points, by the way).Une semaine que je l'attendais, Numéro est enfin en kiosque et là comme un acharnement, la thématique du mois, Naïade, un Numéro qui prend l'eau. tout fou le camps. Non en faite, l'eau est mon élément et je peux pas critiquer Numéro, surtout quand ce 94° numéro se montre exceptionnel, je crois que c'est mon préféré. Je ne vais pas vous faire une revue de presse comme avant, c'est juste que je suis en admiration et qu'il est en accord avec mon humeur de l'instant.Oui j'ai envie de la laisser m'entraîner au fond. Bleu, profond, noir, volupté, chaud, saphir, obscur, abyssale, récifs, plage, abandon. Mon esprit bousculé. Couché sur le rebord du bateau, le bras affleurant l'eau, je voudrais qu'elle me prenne la main et me tire dans un gouffre marin sans fin. Numéro 94 - Juin 2008 -
L'inconnue - La première fille du week-end
Je ne sais pas si tu me ressembles, j'aimerai que non, mais je te cherche encore. Tu as cette élégance et cette finesse qui me font tant défaut et après lesquelles je cours depuis longtemps.
J'avais arraché et gardé jalousement ces pages de magazines, ces photos de toi pendant toutes ces années. Pourquoi je les ressort maintenant ? Je ne sais pas qui tu es et je ne le saurai sans doute jamais, ton charme est il là ? Le fantasme profond des hommes pour la belle inconnue, moi aussi il me hante. De toutes façons tu ne me verrais pas, cachée derrière tes lunettes noires.
Tu as cette grâce originale et ces imperfections que j'aime, qui sont si loin de l'opulence qui m'étouffe. Je rêve comme d'habitude, je laisse des traces sur le sable, effacées par le ressac. Je divague, je suis là et toi non.
Les photos sont issues d'une série mode de "Elle", à l'époque j'avais "craqué" pour le mannequin, inconnue au rang des tops models (ma culture du top modèle est sûrement limitée), donc si l'un d'entre vous arrive à mettre un nom sur cette fille superbe. J'aime bien les tenues, surtout les mocassins verts à talons (free lance).